Restauration 420 Lanaverre - Titre
 

brillant safranbrillant safran

Bon, ça y est, il a laissé tomber... Ben non, j'ai juste eu quelques journées bien chargées, mais j'arrive à ma cinquième couche de vernis marine sur le safran qui commence à bien briller. Encore un ou deux coup de ponçage 600+vernis, et il scintillera de mille feux, façon cuiller géante. Gare aux brochets sur le lac !
Mon seul regret : ne pas lui avoir passé un coup de dégriseur bois car certaines zones sont restées plus sombres malgré le ponçage. Tant pis, il a tout de même plus fière allure ! Bientôt je mets sa photo (dommage je ne l'avais pas "immortalisé" avant restauration, histoire de voir la différence. faudra pas que j'oublie pour la dérive dont ça va bientôt être le tour.)
Sinon si quelqu'un avait des vues de dessus, dessous, côté du puits de dérive ça m'arrangerait. C'est surtout la partie "chapeau" ou "couvercle", comme vous voudrez qui m'intéresse, car je crois que sur mon 420 cette zone a été bricolée, comme on peut le voir sur cette image (Inclinez la tête vers la droite et attendez) :
Lanaverre 420-Dessous du couvercle de puits de dérive
Il me semble qu'une bande de roving a été ajoutée pour renforcer la liaison puits/couvercle. Et comme les "ailes" de ce couvercle sont cassées, je me demande si je ne vais pas le démonter pour faire un moule et sortir une pièce neuve. Seulement j'ai besoin de savoir comment cette pièce est fixée à l'origine. Vous pouvez m'aidez ?

Le safran joue les fakirsLe safran joue les fakirs

Ce matin, suite et fin du ponçage du safran. Puis première couche de vernis marine. Pas mal, un petit coup de brillant lui a fait le plus grand bien.
Pour vernir les deux côtés à plat (ça évite les coulures) sans rester collé au plan de travail, j'ai fait une "planche de fakir" : 4 clous dans une lame de parquet approximativement de même taille que le safran. Ce dernier ne repose ainsi que sur les 4 pointes de clous, ce qui ne devrait laisser que des marques minimes dans le vernis tout neuf.

Tout le monde sur le pont !Tout le monde sur le pont !

Des fentes importantes étant décelées à la jonction flotteurs/pont avant (je dis pont, c'est en fait le "capot" du bateau), et cette pièce triangulaire étant recollée à grands coups d'epoxy, je décide de la séparer du reste du bateau. D'autant qu'elle même présente de nombreuses fissures du gel-coat, et a fait l'objet d'un rafistolage sauvage à grand renfort de "choucroute".

Read next

Premiers sous...Premiers sous...

Après un nouveau nettoyage et un essai de polish carrosserie sur une des parties les moins malades, un disque de vingt centimètres de diamètre a retrouvé le jaune soleil qui devait être la couleur d'origine du bateau. Je sépare le safran et sa tête, et commence à le ponçer pour enlever ce qui reste de vernis. Ce reste étant bien accroché, après avis avisé je me résous à le laisser en place ; le bois grisé a retrouvé un ton bois, et ce qui reste ne va pas partir maintenant.
Je vogue roule jusqu'au brico voisin et en reviens avec du vernis marine, le pinceau qui va bien avec, du papier de verre de divers grains, un bidon d'acétone, et puis, ça servira sûrement, un pot de "Sintomarine".
Voilà, les premiers euros pour le bateau, une trentaine, sont dépensés.

A l'eau !A l'eau !

Mon 420 est à l'eau !

Read next

Chantier navalChantier naval

Pour transporter MON BATEAU dans les Vosges, Jérôme et son père Michel sont mis à contribution, ce dernier possédant un plateau pour transporter son bolide de circuit en circuit. Posé à l'envers et sanglé, le 420 n'est pas aussi fringuant que la sportive allemande transportée habituellement, mais presque aussi aérodynamique. Et le rack a roues est parfait pour soutenir le mât serré à sa bome.

Read next

Appel radioAppel radio

Tout à commencé lors d'une promenade en voiture. L'heure des annonces sur la radio régionale. Un voilier de 4,50m à vendre 50€. Ni une, ni deux, aucun bateau ne figurait dans les listes de courses des 10 prochaines années, mais on appelle...

Read next

CSS Valide !